REGLAGES
CARACTÉRISTIQUES
I. -
Partie Moteur
MOTEUR
Monocylindre.
deux temps à deux alésages en U, avec bielle maîtresse et biellette,
refroidissement par air.
Alésage:
2X45 mm, entre-axe: 53 mm.
Course :
78 mm.
Cylindrée:
248,1 Cc.
Taux de
compression : 6,2 : 1.
Puissance
maxima : 12 CV à 4.500 t/m.
Puissance
au litre : 48 CV.
Couple
maximum : 2 mkg à 2.800 tpm.
Graissage:
Par huile perdue amenée sous pression par une pompe à piston, entraînée
par le vilebrequin.
CARBURATEUR
Marque et
type : Amal 289 P/2A. à aiguille ou Puch P 30/2 avec starter.
Passage:
30 mm.
Gicleur
principal : 200.
Gicleur
principal : 125.
Gicleur
d’aiguille 29.
Aiguille:
29.
Position
de l’aiguille : 3 gorge d’en haut.
Position
de l’aiguille : 2 gorge d’en haut.
Volet des
gaz : 29/3.
Gicleur
de ralenti : 0.5 mm.
Position
de la vis de réglage du ralenti ouverte normalement deux tours, au
maximum quatre tours.
Filtre à air: Filtre humide avec volet d’air. La
vis de butée du volet doit être réglée
avant l’ajustage du
ralenti.
TRANSMISSION
ET BOITE DE VITESSES
Transmission
primaire entre moteur et boite de vitesses par chaîne simple > pas
9,53 mm, largeur: 9.53 mm> 64 mail-Ions.
Rapport
de transmission : 51 : 2 = 2,32.
EMBRAYAGE
à six disques-moteurs et six disques-récepteurs. Diam. des disques 133
mm. Les disques-moteurs sont garnis de 24 pastilles trapézoïdales en
Ferrodo; diam. 112 à 131 mm. Les disques-récepteurs sont guidés par
une denture de 30 dents sur le moyeu d’embrayage.
BOITE
DE VITESSES avec sortie sur l’arbre secondaire.
Rapport de la boîte
Première vitesse : 22 :
8 = 2,75
Deuxième vitesse : 18 :
12 = 1,5
Troisième vitesse : 15
: 15 = 1,0
Quatrième vitesse:
13:17 = 0.765
TRANSMISSION
FINALE entre boîte et roue arrière par chaîne. Pas: 12,7 mm. Diamètre
des rouleaux : 8,51 mm. Largeur : 7,75 mm ; 112 maillons.
Rapport
de démultiplication finale 50 :12 dents = 2,95.
Rapport Total
|
Vitesse
pour 4500 T/Mn
|
Première
|
18.7
|
28 km/h
|
Deuxième
|
10.24
|
51 km/h
|
Troisième
|
6.82
|
76 km/h
|
Quatrième
|
5.21
|
100 km/h
|
COMMANDE DES VITESSES
Par sélecteur au pied, pédale à gauche, avec indicateur
de vitesse sur le dessus du carter moteur. En appuyant sur la pédale du
sélecteur vers le bas, on obtient la vitesse plus petite , en la tirant
vers le haut, en obtient la vitesse plus grande. Le point mort se trouve
entre la première et la deuxième vitesse.
GRAISSAGE
Graissage à huile perdue, par pompe à piston entraînée
par le vilebrequin. La soupape réglant le débit est commandée par
la poignée tournante des gaz. Ainsi le débit dépend de la vitesse de
rotation du moteur et de la charge.
Réservoir d’huile incorporé dans le réservoir
d’essence contenance : 1.5 litre.
EQUIPEMENT ELECTRIQUE
Allumage par batterie.
Dynamo en bout de vilebrequin, à Courant continu,
fabrication Puch, avec régulation de la tension.
Puissance de la dynamo : 6 Volts, 35/50 Watts.
Batterie : 6 Volts, 7 amp./h.
Ecartement des contacts : 0,4 mm.
AMPOULES
Phare-code : 25/25 Watts.
Veilleuse et feu rouge arrière : 1.5 Watt.
Lampe-témoin de charge : 1,5 Watt.
Avance à l’allumage : 8mm. avant le point mort haut du
piston de transfert, donc du piston arrière.
Ecartement des électrodes: 0.6 à 0,7 mm.
l.
- Partie Cycle
Suspension avant par fourche télescopique Course des
ressorts de la fourche avant 110 mm.
Suspension arrière par roue coulissante
tension.. des ressorts réglable suivant la charge de la machine et l’état
des routes.
Roues à
broches avant et arrière. Diamètre des broches 20 mm.
Jantes à
base creuse. Dimension : 2,5 X 19 pouces.
Pneus 3.25 X 19 pouces. Pression de gonflage
avant 1.0 kg/cm2 arrière avec une personne 1 .4 kg/cm2 avec
deux personnes 1 .9 kg/cm2.
Rayons des roues
Avant M 4, longueur 170
et 190 mm Arrière M 5,
longueur 190 mm,
DIMENSIONS
GENERALES
Empattement : 1.340 mm (sans conducteur).
Longueur
totale :2.080 mm.
Largeur
:750 mm.
Hauteur :
980 mm.
Hauteur
de selle: 750 mm.
Garde au
sol: 140 mm.
Rayon de
braquage: 4m.
POIDS
Poids à vide, sans essence. huile, outillage, pompe ni
tansad 125 kilos.
Poids en ordre de marche, mais sans tansad : 138 kilos.
Poids
total admissible 312 kilos.
CHARGE DES ROUES
Avec 1 personne : AV 91 kg AR 123 kg.
Avec 2 personnes: AV 91 kg AR 221 kg.
CONTENANCES
Réservoir d’essence : 11 litres dont 5 litres en < réserve>.
Réservoir d’huile : 1.5 litre.
Boite de vitesse : 0,6 litre (600 cl).
Fourche télescopique: 0.1 litre (100 cl) dans chaque
tube.
FREINS
Diamètre des tambours : 180 mm à l’avant et à l’arrière.
Largeur des garnitures :
25 mm.
Rapport
des commandes
Avant (frein à main)
20.4 : 1
Arrière
(frein au pied) 38.9 : 1
SELLE
Selle oscillante avec dessus en caoutchouc. Suspension par
deux ressorts à compression, logés sous le réservoir. Tension réglable
suivant le poids du conducteur.
GUIDON
Largeur 690 mm. monté sur caoutchouc réglable en
position.
DIRECTION
Inclinaison
de la douille de direction : 60 degrés.
Chasse au
sol : 120 mm.
DIMENSIONS DES ROULEMENTS
Vilebrequin
:
Nbr N0
2
6305
25 x 62 x 17
1
6204
20 x 47 x 14 dans le couvercle de transmission
Moyeu
avant :
2
6204
20 x 47 x 14
Moyeu
arrière :
1
6204
20 x 47 x 14
1
6205
25 x 52 X 14
Boîte de
vitesses
Arbre primaire
1
6204
20x47x14
9 galets. 5 X 8 sur ø
17. bague ext. ø 34.
Arbre secondaire
1 Wjl 20, 20 x 47 x 18
à galets.
9 galets 5X sur Ø 17
PERFORMANCES
Vitesse
maxima : 100 km/h. Consommation : 3 litres essence et 0,2 litre huile
aux 100 km. à une vitesse de 67 km/h.
Autonomie à
vitesse moyenne: 350 km, dont 100 km avec la réserve.
DESCRIPTION
TECHNIQUE
1° Partie moteur
|
MOTEUR
Comme
presque tous les moteurs produits par la Maison Puch. celui de la
250 TF est un deux temps à 2 alésages en U. avec chambre de
combustion commune. L’alésage de 2 X 45 mm et la course de 78
mm sont communs avec les modèle d’avant guerre, les types 250
E, 250 I et 250 S4. Mais la puissance du nouveau modèle est avec
12 CV à4.500 t/m plus élevée que celle de la 250 S4 d’avant
guerre, qui donnait environ 10,5 CV à 4.300 t/m.
CULASSE
La
culasse est en alliage léger, avec une chambre de combustion en
forme de toit. La bougie est placée obliquement au-dessus du
piston arrière, donc du piston de transfert, afin de profiter au
maximum des gaz frais. Notons, comme particularité, les ailettes
qui contournent les écrous de fixation sans être interrompues.
CYLINDRE
En fonte
spéciale, comporte l’alésage d’échappement ayant, avec deux
lumières d’échappement de 21 X 30 mm, et la lumière
d’admission de 20 X 42 mm, commandée également par le piston
ayant, le piston d’échappement l’alésage de transfert, placé
derrière, comporte trois lumières de transfert de 15 X 27 mm.
Les canaux de transfert sont placés le long de l’alésage, à
peu près à distance égale. La tubulure d’admission contourne
le cylindre arrière afin d’aboutir à la lumière dans l’alésage
avant, ce qui représente un trajet assez torturé. Le modèle
Sport possède donc deux carburateurs, un de chaque côté du
cylindre.
|
Le
cylindre comporte des ailettes assez généreuses, car l’inconvénient
de tous les moteurs deux temps en U est l’échauffement particulier
du piston d’échappement, qui est moins en contact avec les gaz frais
que le piston unique d’un moteur classique. Personnellement, nous
verrions la solution idéale dans un cylindre en alliage léger, chemisé
ou avec des alésages chromés, le jour où ce procédé serait dans le
domaine industriel. La Maison Puch, elle aussi, travaille la deuxième
solution.
PISTONS
Les deux
pistons, ainsi que leurs axes, sont identiques. Les deux axes sont cylindriques,
contrairement aux modèles d’avant guerre qui avait un ou les deux
axes carrés, avec des pieds de bielle munis également de trous
quadrangulaires.
Des
circlips maintiennent les axes des pistons.
EMBIELLAGE
L'embiellage de la 250 TF comporte une bielle maîtresse,
pour le piston ayant et une biellette pour le piston arrière. Ainsi la
précession des deux est assurée, le piston d'échappement arrivant
plutôt à ses points morts que le piston de transfert. Il en résulte
un diagramme de distribution dissymétrique, ce qui augmente la
puissance du moteur deux temps en U et diminue les pertes de mélange
donc la consommation.
L’embiellage est monté sur aiguilles; il n’est pas démontable
mais remplaçable en échange standard. Longueur de la bielle: 160 mm,
longueur de la biellette 130 mm.
CARTER
MOTEUR
L’agencement
des carters-moteur est celui des blocs-moteurs habituels: deux
demi-coquilles assemblées dans l’axe des cylindres, complétées par
un couvercle de transmission primaire du côté gauche et une amorce de
carter de chaîne secondaire du côté droit. La dynamo, on bout do
vilebrequin, est cachée par un couvercle en tôle, qui est incrusté
dans l’amorce du carter de chaîne.
II. -PARTIE CYCLE
CADRE
Une partie de la bonne tenue de route de la machine est
certes due à la rigidité du cadre qui, de par son dessin, est en même
temps très léger. Le tube avant, le tube supérieur et la douille de
direction sont de section rectangulaire, formés par deux U en tôle pliée
de 20/10. et fermés par soudure électrique. Les bases. haubans et
tubes supports de suspension arrière sont des tubes étirés ronds,
tandis que le tube de selle est remplacé par une plaque emboutie, également
on tôle de 20/10. qui prolonge le garde-boue arrière et qui fait
fonction d’entretoise des bases et haubans.
DIRECTION
ET GUIDON
D’un dessin classique, la direction est montée sur des
cuvettes à billes (2 fois 19). Un frein de direction est prévu, avec
un anneau de fibre entre deux disques de pression. Le jeu de direction
se règle avec un écrou de réglage avec contre-écrou, après avoir
libéré la vis de serrage.
Le guidon est serré avec une bague de caoutchouc intermédiaire,
entre la plaque supérieure de la fourche et un chapeau. Il peut donc
tourner dans sa fixation. Une vis permet de régler la résistance de la
poignée tournante des gaz.
SUSPENSION
ARRIÈRE
La suspension arrière est du type coulissant classique.
Les deux supports sont en fonte, bagués bronze, et s’appuient contre
les ressorts de suspension (un de chaque côté. Un tampon caoutchouc
limite le rebondissement. La tensi.n des ressorts est variable suivant
la charge de la machine et l’état des routes. A cet effet, un Six
pans à perçage excentrique permet de descendre la face d’appui supérieure
des ressorts.
FOURCHE
La fourche télescopique est du type < anglais
>, c’est-à-dire, les
tubes intérieurs sont fixés, maintenus entre les plaques supérieure
et inférieure, tandis que les tubes extérieurs sont coulissants. Une
bague bronze est fixée sur le tube intérieur, l’autre se déplace
avec le tube extérieur. Il n’y a pas de dispositif spécial
d’amortissement hydraulique, ce qui semble justifié par le faible
poids de la machine. Dimensions des tubes tube intérieur
diamètre 33 en 30/10 tube
extérieur: diamètre 40 en
20/10.
Chaque jambe de la fourche télescopique est remplie
d’huile moteur (environ 100 cc par Jambe). Un bouchon de vidange se
trouve à chaque main supportant la broche de moyeu. Pour le
remplissage. des vis sont prévues sur chaque écrou de fixation des
tubes sur la plaque supérieur.. Utiliser l’huile moteur approprié,
à la saison.
GRAISSAGE
Une vis
sans fin, placée entre les deux roulements du vilebrequin du côté
transmission, entraîne par une roue dentée de 28 dents la
pompe à huile placée derrière la transmission primaire. Le
piston de la pompe est solidaire avec la roue dentée et comporte
une rainure ou gorge sinusoïdale. Un ergot fixe qui s’engage
dans la gorge impose ainsi au piston, à chaque rotation, un
mouvement oscillant, mouvement qui est également suivi par la
roue dentée, dont la denture est taillée en conséquence.
Le débit
de la pompe est réglé par un petit piston coulissant dans un alésage
qui découvre plus ou moins un orifice de passage. La commande
des déplacements de ce piston est effectuée par un câble sous
gaine, actionné par la poignée des gaz, en même temps que le
volet du carburateur. Ainsi le débit est proportionnel à la
charge et (grâce à l’entraînement de la pompe par le
vilebrequin) au régime du moteur. Il en résulte une grande économie
de lubrifiant. La pompe débite dans un perçage du carter qui
correspond avec deux perçages dans le cylindre. Ainsi l’huile
est projetée contre les parois de l’alésage d’échappement.
L’huile
ruisselant des parois est ensuite ramassée dans des godets ou
augets et amenée aux roulements du bloc.
|

|
TRANSMISSION PRIMAIRE
Suivant
fidèlement la tendance en Europe centrale, la transmission primaire
se fait par chaîne sans fin dans un carter étanche. Le pignon moteur
à 22 dents, la couronne d’embrayage 51 dents. Le couvercle de
transmission est traversé par l’arbre de la mise marche et par
l’arbre de commande du sélecteur, qui se trouvent ainsi tous les
deux à gauche.
EMBRAYAGE
L’embrayage
se compose des pièces suivantes:
1° La
couronne dentée, fixée par Soudure électrique (par points) à la
cloche d’embrayage. Notons les grands trous d’allégement dans la
cloche, qui permettent en même temps l’évacuation de l’huile .
2° Six
disques moteurs garnis de pastilles trapézoïdales on Ferodo ou matière
analogue,
3° Six
disques récepteurs en acier, avec une denture intérieure brochée
4° Le
moyeu d’embrayage on fonte, qui se monte sur l’arbre primaire de la
boite de vitesses, et qui comporte des évidements pour les cinq
ressorts d’embrayage, ainsi qu’une denture extérieure pour le
guidage des risques récepteurs
5° Les
cinq ressorts d’embrayage avec leurs coupelles et vis de serrage,
6° Le
disque de pression extérieur, actionné par la commande de débrayage.
La
commande de l’embrayage se fait b travers l’arbre primaire creux de
la botte de vitesses, par un levier forgé, articulé sur un support en
acier, fixé sur le côté droit du carter, deux tiges de débrayage de
50 et 134,5 mm de longueur avec une bille intercalée, et finalement un
embout en forme de champignon, qui s’appuie sur le disque de pression.
La
pression des ressorts n’est pas réglable : les vis de serrage doivent
être bloquées à fond

BOITE DE VITESSES
La boite
de vitesses est remarquable par le fait que la sortie se fait sur
l’arbre secondaire, qui porte ainsi sur le côté droit le pignon de
chaîne de la transmission secondaire, Cette disposition exige la réalisation
des quatre rapports de la boîte par deux pignons seulement. Les deux
plus petits (8 dents sur l’arbre primaire et 13 dents sur le
secondaire) sont ainsi taillés directement sur les arbres respectifs.
Le clabotage se fait dans cinq coups de, fraise sur les faces de
pignons.
A part le
pignon de 8 dents solidaire de l’arbre primaire, les autres pignons de
cet arbre ont 12, 15 et 17 dents. Ceux de l’arbre, secondaire: 22, 18,
15 et 13 dents.
Ainsi les
rapports de la boite de vitesses s’établissent comme suit
Première
22: 8 = 2,75
Deuxième
18 :12 1,5
Troisième
15:15 = 1,0
Quatrième
17:13 = 0,765
L’entrée
et la sorti, étant sur deux arbres différents, il n’existe pas de
prise directe, ce qui entraîne une certaine perte do puissance on
quatrième vitesse par rapport aux boites classiques.
La boite
de vitesses est graissée par un bain d’huile de 0,6 litre. 1. bouchon
de remplissage se trouve à droite à côté de la batterie. Un trou de
trop-plein (obturé par une vis) fixe le niveau. Utiliser l’huile-moteur
qui convient à la saison.
COMMANDE DE VITESSES
Les deux
fourchettes commandant chacune un pignon baladeur sur l’arbre primaire
et un sur l’arbre secondaire sont constituées par des plaques en tôle
d’acier soudées sur un moyeu. Un ergot est de son côté soudé également
au moyeu.
Ces
ergots s’engagent dans les fentes de la plaque ou grille de sélecteur.
Celle-ci est, comme dans toutes les boites modernes, découpées en tôle
d’acier. Sa rotation est effectuée par un bloc de commande soudé
sur elle, et le verrouillage des vitesses est réalisé sur sa circonférence.
L’arbre
de sélecteur, qui porte à l’extérieur du bloc la pédale, est
solidaire à son autre extrémité du levier de commande. Celui-ci est
articulé au levier intermédiaire, qui actionne la plaque
porte-cliquets qui, elle, tourne la grille ou plaque de sélecteur. Ces
deux pièces sont montées sur un arbre vertical, qui traverse le carter
et qui porte à son extrémité supérieure la plaquette indicatrice de
la vitesse engagée.
IL ne faut
donc jamais démonter cette plaquette si le carter reste fermé, car
tout le mécanisme du sélecteur tomberait, et il serait nécessaire
d’ouvrir le bloc-moteur afin de le mettre en place.
Rappelons
que, contrairement aux habitudes, les vitesses plus grandes sont
obtenues sur la Puch 250 TF en tirant la pédale vers le haut, les
vitesses plus petites, en appuyant vers le bas.
MISE EN MARCHE
La sortie
de la boite Sur l’arbre secondaire obligent à faire tourner à
contresens le vilebrequin et l’arbre primaire. Le secteur denté de la
mise en marche, qui est solidaire avec l’arbre du kick-starter, ne
peut pas attaquer directement le pignon de mise en marche placé derrière
l’embrayage, mais le sens de rotation doit être inversé par un
pignon intermédiaire, monté fou sur un axe au-dessous des deux arbres
de la boite de vitesses.
PRISE DE COMPTEUR
La
commande du compteur est incorporée dans la boite de vitesses. Le
pignon menant engrène avec un des pignons de l’arbre primaire et avec
le pignon mené.

II. -PARTIE CYCLE
CADRE
Une partie de la bonne tenue de route de la machine est
certes due à la rigidité du cadre qui, de par son dessin, est en même
temps très léger. Le tube avant, le tube supérieur et la douille de
direction sont de section rectangulaire, formés par deux U en tôle pliée
de 20/10. et fermés par soudure électrique. Les bases. haubans et
tubes supports de suspension arrière sont des tubes étirés ronds,
tandis que le tube de selle est remplacé par une plaque emboutie, également
on tôle de 20/10. qui prolonge le garde-boue arrière et qui fait
fonction d’entretoise des bases et haubans.
DIRECTION ET GUIDON
D’un dessin classique, la direction est montée sur
des cuvettes à billes (2 fois 19). Un frein de direction est prévu,
avec un anneau de fibre entre deux disques de pression. Le jeu de
direction se règle avec un écrou de réglage avec contre-écrou, après
avoir libéré la vis de serrage.
Le guidon est serré avec une bague de caoutchouc
intermédiaire, entre la plaque supérieure de la fourche et un chapeau.
Il peut donc tourner dans sa fixation. Une vis permet de régler la résistance
de la poignée tournante des gaz.
SUSPENSION ARRIÈRE
La suspension arrière est du type coulissant
classique. Les deux supports sont en fonte, bagués bronze, et
s’appuient contre les ressorts de suspension (un de chaque côté. Un
tampon caoutchouc limite le rebondissement. La tensi.n des ressorts est
variable suivant la charge de la machine et l’état des routes. A cet
effet, un Six pans à perçage excentrique permet de descendre la face
d’appui supérieure des ressorts.
FOURCHE
La fourche télescopique est du
type < anglais >, c’est-à-dire,
les tubes intérieurs sont fixés, maintenus entre les plaques
supérieure et inférieure, tandis que les tubes extérieurs sont
coulissants. Une bague bronze est fixée sur le tube intérieur,
l’autre se déplace avec le tube extérieur. Il n’y a pas de
dispositif spécial d’amortissement hydraulique, ce qui semble justifié
par le faible poids de la machine. Dimensions des tubes tube intérieur
diamètre 33 en 30/10 tube
extérieur: diamètre 40 en
20/10.
Chaque jambe de la fourche télescopique est remplie
d’huile moteur (environ 100 cc par Jambe). Un bouchon de vidange se
trouve à chaque main supportant la broche de moyeu. Pour le
remplissage. des vis sont prévues sur chaque écrou de fixation des
tubes sur la plaque supérieur.. Utiliser l’huile moteur approprié,
à la saison.
|
|
SUSPENSION AR.
Elle
est du type coulissant à caches télescopiques. Une pièce à six
pans placée à la partie supérieure de chaque élément permet
un réglage facile, par simple rotation, de la dureté de la
suspension. Le rebondissement est absorbé par une butée de
caoutchouc de forme cruciforme.
MOYEUX ET FREINS
Des
axes de moyeux d’un diamètre de 20 mm semblent gros pour une
machine de cette cylindrée et ce poids, mais ils sont bien utiles
pour assurer la remarquable tenue de route de la machine.
Naturellement, les deux moyeux sont à broches. La liaison entre
le corps de moyeu arrière et le tambour de frein portant la
couronne est faite par trois goujons soudés et trois écrous, Il
est à remarquer qu’à la séparation, un roulement reste dans
le corps de moyeu, l’autre dans le tambour, procédé très
rare.
Les
tambours de freins ont un diamètre de 180 mm, particulièrement
grand pour une, 250 cc de faible poids. Mais ils assurent un
freinage très progressif. La largeur des mâchoires et garnitures
est de 25 mm. Plateaux de freins, mâchoires, etc.. sont en
alliage léger, et comme le. reste des moyeux, très étudiés au
point de vue diminution des poids.
ACCESSOIRES
Le châssis
de selle est également très léger. en tôle mince emboutie et
soudée.
La
suspension de la selle, oscillante, se fait par deux ressorts en
compression. placés sous le réservoir, le long du tube supérieur.
Leur tension est réglable suivant le poids du conducteur.
Le réservoir
d’essence contient une partie séparée qui sert comme réservoir
d’huile.
Une
boite à outils, très bien garnie, un carter de chaîne un peu
rudimentaire et deux pots d’échappement démontables complètent
l’équipement de la machine. qui peut être livrée soit avec un
parte-bagages, soit avec un tansad spécial, à ressorts latéraux,
se fixant directement sur le garde-boue arrière à charnière.
GRAISSAGE
Huile
moteur en été, S.A.E. 50 en hiver, S.A.E. 30 ou 40.
Tous
les 1.000 km suspension arrière. graisse.
Tous
les 3.000 km axe de la selle. pédale de frein, came de frein, câble
de commande d’embrayage, avec la graisse, et leviers à main,
axe de la pédale de kick, axes de la béquille. articulations
de la commande du frein arrière, articulations des ressorts de
selle avec huile moteur. Feutre de l’interrupteur avec graisse
spéciale pour haute température.
Tous
les 20.000 km démontage et graissage de la direction et des
moyeux.
En
plus, vidanger la boite de vitesses tous les 12.000 kilomètres et
remplir avec de l’huile moteur appropriée à la saison jusqu’à
la vis de trop-plein. Les mêmes huiles sont à utiliser pour les
deux montants de la fourche télescopique, vidange tous les 6.000
kilomètres.
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Conseils
Pratiques
Les
démontages de la PUCH 250 T F sont relativement simples, toutefois
certains remontages et surtout quelques réglages mentent toute
l’attention de l’opérateur.
DEPOSE
DU MOTEUR
Démonter
les tuyaux d’échappement. Détacher les câbles de commande. Décrocher
toujours la commande de la pompe à
huile sur le levier intermédiaire au cadre, jamais du côté
moteur, où démontage et remontage sont très compliqués.
Débrancher
le fil de bougie, la tuyauterie d’essence et les fils de la dynamo.
Sortir
le volet des gaz du carburateur.
Démonter
le réservoir d’essence après avoir débranché la conduite
d’huile.
Retirer
les vis de fixation du carter-moteur.
Sortir
le moteur du cadre.
DEGROUPAGE DU
MOTEUR
Le dégroupage
s’effectue suivant la manière habituelle. Marquer les pistons avant
de les enlever, car s’ils sont identiques au départ, les conditions
de rodage. et d’usure ne sont pas les mêmes dans les deux alésages.
Le jeu
des segments de piston doit être placé à
l’arrière de chaque alésage. Au remontage, chauffer les pistons
avant la mise en place des axes.
POMPE A HUILE
Il est
recommandé de ne pas démonter sans raison valable la pompe à huile.
Si c’est, quand même, nécessaire, des soins particuliers sont à observer au remontage, car le jeu du piston dans son alésage est
très faible, et un coincement facile. La pompe se monte sur le carter
sans joint de papier, les faces sont seulement enduites d’hermétic.
Pour le montage, placer le piston et son pignon dans la position la plus
haute. Serrer d’abord légèrement les vis de fixation. Vérifier
l'engrènement entre la vis sans fin et le pignon. le. jeu des dentures
doit être 0.12 à 0,20 mm. Bloquer ensuite les vis de fixation, mais
pas trop fort, sinon le piston coince. Vérifier la liberté de son
mouvement.
RÉGLAGE DU DEBIT DE LÀ POMPE
A HUILE
Après démontage
d’un petit couvercle de regard sur le carter, au-dessous de la cuve de
carburateur, on aperçoit une marque rouge sur le carter et une autre
sur le disque de réglage. Le réglage est normal, si dans la position
< pleine ouverture> de la poignée tournante les deux marques coïncident.
Ceci correspond à une consommation d’huile d’un litre aux 500 kilomètres
pour conduite normale et pour 300 kilomètres pour une marche rapide.
Le rodage
étant bien terminé après 2.000 kilomètres, on peut envisager une
diminution de cette consommation. A cet effet, on desserre le contre-écrou
de la vis de réglage du câble de commande. En desserrant la vis, la
marque < + > se rapproche de la marque rouge, le débit augmente.
En serrant la vis, le débit diminue, la marque <—>
s’approche. Naturellement, la poignée tournante reste grande ouverte
pendant le réglage.
EMBRAYAGE
Pour le
montage et démontage de l’embrayage, on utilise avantageusement un
anneau de montage (250,7007), qui remplace pendant ces opérations le
disque de pression et qui maintient la force des resssorts, ce qui
permet le serrage ou dévissage de l’écrou de moyeu.
La
tension des ressorts n’étant pas réglable, on bloque leur vis de
serrage et on les freine par un fil de fer.
Le levier
de débrayage n’a pas d’articulation ,il coulisse simplement et
s’appuie sur la vis de réglage. Celle-ci doit être ajustée dès que
la garde au levier de commande au guidon dépasse 12 mm. Si le réglage
à la vis n’est plus possible, régler d’abord la longueur de la
gaine du câble de commande. Après réglage, l’extrémité supérieure
du levier de débrayage doit être, éloignée de 6 mm de la paroi du
carter.
BOITE DE VITESSES
Un démontage de la boite
est possible sans déposer le moteur du cadre. Après dépose du
cylindre et de la dynamo, la coquille droite du carter peut être démontée.
Tous les engrenages restent sur la coquille gauche dans le cadre. Seul
le ressort de verrouillage du sélecteur reste sur la moitié gauche.
Nous
rappelons qu’il ne faut jamais enlever le disque indicateur des
vitesses si le carter reste fermé, car le sélecteur tomberait dans la
boite. Attention également à l’anneau
caoutchouc et au disque fibre sous l’indicateur, qui sont essentiels
pour le fonctionnement du sélecteur.
CARBURATION
Après le
rodage de 2.000 kilomètres, on peut également envisager une diminution
de la consommation d’essence, On ouvre alors la vis de réglage du
ralenti, normalement ouverte de deux tours. On peut aller jusqu’à
quatre tours si l’essence le supporte. Avant cette opération, le régime
de ralenti, volet fermé, doit être réglé par la vis de butée du
volet.
DEPOSE DE LA FOURCHE TELESCOPIQUE
Enlever
la broche du moyeu avant et la roue.
Desserrer
la vis accessible à l’intérieur
des mains supportant la broche.
Pousser
la vis vers l’intérieur du tube et la dévisser complètement.
Tirer
le.tube extérieur vers le bas jusqu’à ce que l’écrou tubulaire
devienne accessible
Dévisser l’écrou
tubulaire et sortir le tube extérieur, Les bagues de fourche sont ainsi
accessibles. ATTENTION L’écrou
tubulaire comporte un joint antifuite.
Dévisser les deux écrous
qui maintiennent le ressort et le tube inférieurs sur la plaque supérieure.
Libérer les vis de
serrage aux plaques inférieure et supérieure.
Sortir les tubes Inférieurs.
Au remontage, les trous
de graissage supérieurs du tube doivent être orientés vers l’avant.
Avant de monter les bagues bronze sur les tubes inférieurs, enfiler les
DEPOSE
DE LA SUSPENSION ARRIERE
Déposer le cache du six
pans de réglage.
Sortir l’axe du six
pans vers l’extérieur, après avoir enlevé le circlips.
Sortir l’axe de
maintien du support du six pans.
Sortir le six pans et
l’appui de ressort.qui se compose de quatre pièces et un petit
ressort de rappel.
Desserrer les boulons de
maintien de l’axe de suspension.
Chasser l’axe
tubulaire vers le bas.
Sortir les supports de
broche avec les tubes de protection des ressorts de suspension.
Si le jeu atteint 1 mm,
remplacer les bagues bronze des supports de broche.
ATTENTION
! Dans le ressort est placé un anneau caoutchouc de ø 36,5,
largeur 6.5 mm, comme butée de course. Au remontage, monter le ressort,
l’anneau et les tubes de protection sur les supports de broche et
monter ceux-ci ensuite dans le cadre en comprimant légèrement les
ressorts.
DEMONTAGE DU FREIN ARRIERE
Le frein
avant, faisant partie de la roue, se démonte facilement, mais le frein
arrière reste sur la machine après démontage de la roue arrière à broche.
Enlever
d’abord l’écrou de l’ancrage du frein sur le support de broche
droite.
Sortir le grand circlips
à l’intérieur

EQUIPEMENT ELECTRIQUE
L’équipement électrique de la Puch 250 TF est à
courant continu avec allumage par batterie. L’induit de la dynamo est
monté en bout du vilebrequin. du côté droit. Le stator, qui est
excentré par rapport au vilebrequin, contient, en plus des inducteurs,
le condensateur et l’interrupteur avec les points de contact et
finalement le régulateur de tension. La bobine d’allumage elle-même
est placée dans la boite à outils. Une lampe-témoin sert à vérifier
le fonctionnement de la charge de la batterie. On est d’ailleurs étonné
de trouver sur une machine si importante une batterie de seulement 7 amp/h.
Le régulateur de tension est fixé élastique ment sur une
plaquette isolante à l’intérieur du stator. Il comporte un électro-aimant
on forme de U. constitué par un noyau cylindrique qui porte le bobinage
et qui est rivé sur une cornière.
Au-dessus de l’électro-aimant sont placés deux marteaux
le marteau conjoncteur-disjoncteur au-dessus du marteau de régulation.
Les deux marteaux sont fixés chacun par un ressort à leur support, le
ressort du marteau de régulation est bimétallique afin d’éliminer
les effets de température. Les marteaux portent à leur extrémité
avant des contacts en argent. Les contacts correspondants se trouvent
sur un bras réglable fixé sur la cornière. Par la position de ce
bras, on règle mécaniquement le marteau disjoncteur, celui de régulation
suit automatiquement.
Le réglage électrique se fait par variation de la tension
des ressorts à l’aide de la vis de réglage avec écrou denté et
contre-écrou.
Pour une bonne durée de la batterie, un réglage précis
est indispensable, afin de maintenir la tension de charge entre 5.4 et
8,4 Volts. Le marteau disjoncteur doit faire le contact quand la tension
de la dynamo arrive à 6 Volts, sinon la batterie se décharge dans la
dynamo. Le régulateur entre en action quand la tension dépasse 8
Volts. Par son contact, la résistance du régulateur s’ajoute aux
inducteurs et empêche une augmentation de la tension. Ainsi le bobinage
du régulateur comporte trois circuits différents la résistance précitée,
la bobine de l’électro-aimant lui-même (bobine de tension qui amène
d’abord le marteau disjoncteur et ensuite le marteau régulateur en
contact), et finalement un circuit auxiliaire qui est seulement branché
par le contact conjoncteur-disjoncteur et qui est parcouru par le
courant d’induit. il augmente d’environ 25 % la force de la bobine
d’électro-aimant en marche normale, mais la diminue au cas où la
batterie se déchargerait dans la dynamo.
Le marteau
disjoncteur ne bouge qu’à la mise en marche et à l’arrêt du
moteur. Son contact s’use donc peu. Mais à plein régime, tout le
courant passe par ce contact. Son ressort en bronze est donc sous une pré-contrainte,
afin d’éviter des vibrations du moteur au cas d’un contact
tremblant.
Le marteau de régulation ne commande que des courants de
faible intensité, mais il travaille constamment à haute fréquence.
Son contact s’use donc assez vite, et doit être remplacé dans ce
cas.
L’entrefer
entre les deux marteaux doit être du moins do 0,3 mm. En appuyant sur
le marteau régulateur, ses contacts doivent s’éloigner de 0.6 à
0,7 mm.
REGLAGE DU REGULATEUR
DE TENSION
1° Réglage mécanique
du marteau disjoncteur.
Les contacts fixes du régulateur sont solidaires avec deux
supports-contact, un long et un court. Le support long règle, par son déplacement,
la course du marteau disjoncteur qui doit être 0,8 à 1mm. Le déplacement
du support court règle l’entrefer des contacts, qui doit être 0,25
à 0,3 mm.
2° Réglage
électrique du marteau régulateur.
Un
voltmètre 0-10 et un ampèremètre 10-0-10 sont nécessaires. Le réglage
est possible sur un banc d’équipement électrique mais aussi sur la
machine. Dans ce dernier cas, mettre le moteur en marche et remplacer la
batterie par le voltmètre. A un régime de 2.000 t/mn, la tension doit
être 7,2 à 7,4 Volts (contre 8 Volts sur le banc sans bobine). La vis
de réglage modifiant la tension du ressort du marteau régulateur règle
le voltage. L’écrou denté règle la coupure du courant au moment de
l’arrêt pour empêcher la décharge de la batterie dans la dynamo. Régler
donc d’abord la tension, Ensuite rebrancher la batterie à la place du
voltmètre avec l’ampèremètre en série et couper le contact, le
courant doit être entre 4 et 7 amp. Vérifier en même temps le courant
de charge qui doit être au-dessous de 3 amp en
position <jour> et pas moins que 0 amp, on position
<phare>.
REGLAGE
DE L’AVANCE A L’ALLUMAGE
Pour
faciliter le réglage, une fente dans le volant-moteur est prévue et un
trou correspondant dans le carter.
•
Mettre la boite au point-mort et sortir la bougie et la vis
d’obturation du trou dans le carter.
Tourner
le vilebrequin avec le six pans de la vis du rotor de dynamo.
Introduisez une tige de diamètre 3 mm. longueur 100 mm,
dans le trou et tourner le vilebrequin jusqu’à ce que la tige rentre
dans la fente et bloque les volants. Dans cette position, les contacts
de l’interrupteur doivent juste commencer à s’écarter.
Ouvert,
l’écartement des contacts doit être 0,4 mm. La vis du rupteur permet
un réglage minima, Pour les grands réglages, le rotor avec la came
sont à tourner par rapport au vilebrequin.
Afin
de retirer le rotor de son cône, dévisser se vis de fixation et
introduisez une tige de diamètre 6 mm et 50 mm de longueur dans le
perçage du vilebrequin et revisser la vis de fixation à se place, elle
arrachera le rotor du cône, ce qui permet de le déplacer avec la
came.


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